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Oksana :: La vie est un labyrinthe dont on espère ne jamais trouver la sortie.

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MessageSujet: Oksana :: La vie est un labyrinthe dont on espère ne jamais trouver la sortie. Oksana :: La vie est un labyrinthe dont on espère ne jamais trouver la sortie.  EmptyJeu 12 Nov - 17:28

Oksana Pelletier a écrit:


  • Oksana Pelletier
    ft emily vancamp
    mystérieuse, aimable, manipulatrice,
    indécise, sûre d'elle,
    sérieuse, rancunière,
    jalouse, persévérante,
    généreuse, polie.
    something human
    32 ans
    18 novembre 1987
    Paris
    Française
    Franco-russe
    Français, russe
    Gérante d'une boutique de lingerie
    ($$$$$$$$)
    Hétéro
    Officiellement fiancée, officieusement se tape son beau-fils.
    enfant unique
    C’est le 18 novembre 1987 que j’ai décidé de pointer le bout de mon nez afin de vivre dans ce nouveau monde qui m’était encore inconnu puisque je n’avais connu que le ventre de ma mère depuis 9 mois qu’elle me portait. Je suis née d’un père français et d’une mère américaine. Je suis née dans la capitale française qu’est Paris. Mes parents se sont rencontrés alors que ma mère était d’escale à Paris pour quelques mois avant de repartir pour d’autres voyages. Entre temps, elle est tombée enceinte et ne l’a annoncé à mon père que quelques mois plus tard quand elle est revenue. Elle est restée en congé maternité pendant six moi. Mes parents semblaient plus amoureux que jamais, pourtant ma mère a quitté mon père quand j’avais un an. Elle lui a annoncé du jour au lendemain que tout était fini, ne lui a donné aucune explication puis a quitté la France et a fait en sorte de ne jamais y revenir. Mon père s’est donc retrouvé seul à m’élever.

    J’ai grandis à Paris, j’y ai passé toute mon enfance seule avec mon père. Je posais beaucoup de questions à mon père concernant ma mère que je ne connaissais pas. A force, je sentais bien que j’agaçais mon père et surtout qu’il n’avait toujours pas fait le deuil de cette séparation, il semblait être toujours amoureux de ma mère. Je ne me souviens pas avoir vu une autre femme avec mon père, il n’était pas prêt à refaire sérieusement sa vie et à force, cela commençait à me peser, j’avais de la peine pour mon père. Alors certes j’avais l’avantage d’avoir l’exclusivité avec mon père. J’étais sa priorité et sa plus grande fierté. Je n’avais certes pas de mère mais je grandissais avec l’amour d’un père, ce qui n’avait pas de prix. En général, les enfants étaient plus dépourvus d’un père que d’une mère, décidément je ne faisais pas dans la normale. J’étais fille unique et j’avais toute l’attention de mon père rien que pour moi, du coup je pouvais avoir tout ce que je voulais de lui. J’étais couverte de cadeau, dès lors que je demandais quelque chose, je l’obtenais. J’étais devenue une enfant pourrie gâtée et capricieuse qui ne supportait pas qu’on lui dise non.

    Durant mon adolescence, j’ai été une jeune fille très rebelle. Ne supportant pas qu’on me dise non j’allais toujours à l’affront face à mon père qui perdait le fil avec moi et qui ne savait plus quoi faire. Si bien qu’on s’est pas mal éloigné pendant cette période. Je faisais tout pour aller contre lui, je devais probablement le rendre fou et il devait très régulièrement être mort d’inquiétude à chaque fois que je décidais de fuguer. Je n’étais jamais bien loin mais je disparaissais chaque fois un peu plus longtemps. J’allais passer du temps chez des amis chez lesquels je restais des journées entières, parce que oui en plus de fuguer je séchais les cours. En réalité, je parvenais à avoir des résultats moyens mais je détestais l’école. Du moins, je n’aimais pas ce que j’y faisais, j’avais besoin de faire quelque chose qui me plaisait pour avancer. Egalement, même si je n’en parlais plus, l’absence totale de ma mère dans ma vie me perturbait. J’avais d’ailleurs demander à mon père de consulter un psychologue pour ça et je m’étais finalement mise en tête de retrouver ma mère. Après quelques recherches, j’avais trouvé qu’elle résidait à Bishopville, je voulais donc m’y rendre après le lycée. Seulement j’avais un très mauvais niveau en anglais et mon père était loin d’approuver l’idée que je veuille retrouver ma mère.

    Avec un peu de persévérance, j’étais parvenue à convaincre mon père de partir à Bishopville pour retrouver ma mère. Malgré que cela semblait lui faire beaucoup de mal, il ne voulait pas me laisser y aller seule, il désirait partir avec moi. En contrepartie, il m’a demandé d’aller d’abord passer quelques années à Londres pour améliorer mon anglais car il était loin d’être parfait. J’ai un peu rechigné à cette idée mais finalement ce n’était pas si mal, j’allais me voir offrir quelques années sabbatiques avant de décoller pour Bihopville ou j’espérais faire mes études et rester vivre ensuite. J’ai effectué quelques petits boulots afin de gagner un petit peu d’argent de poche afin de ne pas dépendre totalement de mon père et pouvoir me payer ce que je voulais. Egalement, je m’ennuyais à force, j’avais besoin de bouger, de sortir, de rencontrer du monde et pour cela il me fallait travailler.

    Comme je l’avais convenu avec mon père, après mon année à Londres et mes progrès en anglais, nous partions pour Bishopville. Je m’étais gardé un peu de temps avant d’entamer mes études en commerce – vente pour rencontrer ma mère. Avec un peu de mal, j’étais parvenue à la retrouver. Cependant, je suis tombée de haut en me rendant compte qu’elle avait refait sa vie, qu’elle avait un mari, des enfants, une famille et que moi elle m’avait littéralement laissé tomber sans même jamais se soucier de comment j’allais, si je n’avais pas besoin d’elle. Cette découverte a été un véritable choc pour moi, j’ai mis un peu de temps à m’en remettre mais mon père était présent pour moi et heureusement. J’ai avoué qu’il avait raison, mon idée avait été mauvaise. Mais je devais aller de l’avant, je n’étais pas venue à Bishopville uniquement pour retrouver ma mère mais aussi pour faire mes études et vivre ici, alors j’avais bien l’intention de me donner à fond pour réussir dans la vie.

    J’avais choisi ce dans quoi je voulais réaliser mes études. Je voulais obtenir un diplôme en commerce – vente et j’avais bien l’intention de tout mettre en œuvre pour réussir. J’ai donc entamé mes études mais je ne voulais pas que mon père paye tout pour moi, et ce même si je me faisais entretenir depuis toujours. Je voulais que ça change. D’autant plus que mon père n’avait pas les moyens de tout financer, je devais mettre la main à la patte. C’était pourquoi j’avais réussi à obtenir un poste en tant que standardiste dans un hôpital afin de financer mes études, ou au moins une partie. Au début tout allait plutôt bien mais rapidement je suis tombée sous le charme d'un grand chirurgien de l'hôpitl. Et ce, malgré le fait qu’il avait le double de mon âge. J’avais déjà 25 ans et j’étais encore en étude et ce malgré le fait que mes études n’étaient pas longues. Pour cause, les quelques années passées à Londres à « vivre » de petits boulots. Mon désormais fiancé ne semblait pas insensible à mon charme non plus. Il exposait vainement son argent et je suppose qu’il a tout fait pour m’avoir. Finalement il a réussi. Je devais avouer que je l’avais aussi un peu choisi pour son argent car il me permettait de vivre aisément sans trop me fatiguer.

    Rapidement je me suis installée chez celui sous lequel j’étais tombée sous le charme et inévitablement j’ai rencontré son fils. Contre toute attente, j’ai flashé sur lui, Ezekiel. Il dégageait quelque chose qui me plaisait beaucoup, je ne savais pas dire quoi c’était simplement inexplicable. Je viens d'apprendre que je suis enceinte, pourtant je n'ai que peu ou pas de rapports avec mon fiancé. Je suis totalement perdue, je sais qu'Ezekiel est le père, je vais devoir lui avouer, mais je ne sais pas comment faire. J'ai peur de la réaction qu'il pourrait avoir, mais il va bien falloir que je parle.
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