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Fiches DSMN

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Mayiie
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Mayiie
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MessageSujet: Fiches DSMN Fiches DSMN EmptyJeu 14 Jan - 14:16

Zayn Clarke a écrit:
Zayn Phoenix Clarke
ft. Jensen Ackles
Prénom(s) Zayn Apparemment, c’est un nom qui signifie « beauté » en arabe. Peut-être que c’est ma mère qui l’a entendu d’une amie, a trouvé que j’avais belle gueule à la naissance et c’est ainsi que le nom est apparu, je ne l’ai jamais vraiment su.
Nom Clarke, simple prénom de mon paternel, nom que je n’ai pas toujours aimé porter, mais avec qui j’ai fait toute ma vie. Et puis, mon nom était court à écrire, est facile à signer sur des papiers. Il y a un bon côté à avoir un nom court qui s’écrit facilement.
Âge J’ai frappé la quarantaine il y a de cela un peu plus d’un an, ce qui fait en sorte que j’ai maintenant quarante-et-un ans. Je sais que je ne les fais pas. Je sais que je ne les ferai jamais et c’est parfait comme ça.
Date & Lieu de naissance J’ai vu le jour le vingt-deux mars mille neuf cent soixante-dix-neuf à Alexandria, en Virginie, une petite ville à quelques minutes du centre de Washington DC. Puisque toute l’action s’y déroulait, c’est presque comme si j’étais né à Washington.
Métier / EtudesAprès le lycée, je suis entré à la Metropolitan Police Academy, soit à la même académie où mes parents ont fait leurs études. C’est d’ailleurs la seule raison pour laquelle j’ai réussi à entrer, parce que j’étais loin d’avoir les résultats et qualifications pour le faire. Malgré tout, je suis parvenu à me frayer un chemin jusque dans le corps de police de la ville de Washington pour devenir inspecteur. Il y a trois ans, j’ai décidé de commencer à travailler seul. Depuis 2017, je suis donc détective privé à mon compte, même s’il m’arrive parfois de collaborer avec la police sur certaines affaires.

Origines & Nationalité Mes deux parents sont nés au États-Unis comme leurs parents et leurs parents avant eux. J’y suis né également, faisant en sorte que je suis américain d’origine et de nationalité américaine. Que Dieu bénisse l’Amérique.
Orientation sexuelle Pour une raison que je ne comprends toujours pas, on croit parfois que je suis homosexuel, ou bisexuel. Ça doit être parce que je suis irrésistible aux yeux de tout le monde, homme, femme, panda, etc. Et pourtant, je suis attiré par des relations qu’avec des femmes, faisant en sorte que je suis hétérosexuel.
Situation amoureuse Célibataire qui peut paraître pathétique aux yeux de certains. En effet, je n’ai jamais su garder une relation sérieuse. Même le hamster que j’avais gardé une fois pour un ami en avait assez de moi au bout d’un week-end. Je me suis résigné au fait que la petite famille parfaite, ce n’était pas pour moi. Est-ce que c’est une perte ? Pas nécessairement. Pas à mon avis pour le moment en tout cas.
Situation financière Travailler à mon compte n’est pas toujours facile, mais entre les dossiers qu’on me confie, la compensation que je reçois de la police lorsque je participe à certaines affaires, je suis capable de garder un compte en banque suffisant pour payer les factures et parfois quelques petits plaisirs.
Caractère Nous vous demandons au moins 5 traits de caractère et de développer chacun d'entre eux avec au moins une petite phrase. Rancunier : Il y a bien des choses que je ne parviens pas à pardonner, parfois pour une raison valable, parfois pour une raison complètement ridicule. Honnête : J’ai tendance à dire ce que je pense de la façon que je le pense, ce qui fait en sorte que parfois, je deviens un champion pour provoquer un malaise, ou dire quelque chose de complètement ridicule. Au moins, je m’assume. Loyal: J’ai beau avoir de la difficulté à garder une relation stable, mais avec les gens que j’apprécie, c’est différent. Je suis prêt à faire bien des choses pour eux. Exigeant : Je manque parfois d’organisation, mes choses semblent un peu brouillon, mais je ne pose pas de geste si je ne suis pas certain de ce que je fais et du résultat. Voici pourquoi je préfère travailler seul; parce que je n’ai pas à faire avec les erreurs des autres. Colérique: Je sais depuis longtemps que j’ai tendance à me fâcher rapidement et ma situation des trois dernières années ne m'a pas aidé à me rendre plus calme et plus posé. J’essaie de développer des méthodes pour tenter de gérer ma colère, mais ça ne fonctionne pas toujours.
Groupe Miranda Priestly

anecdotes
IUn. Tous les amateurs de séries et livres d’action auraient aimé avoir ma famille, mes parents en particulier. Tous deux sont des détectives renommés et respectés. Mon père, pour la police de Washington, ma mère pour le FBI. Il travaillait aux homicides et ma mère, pour les drogues. Chaque soir, quand je pouvais les voir, ils rentraient à la maison avec plein d’histoires. Mes parents étaient des héros, bottaient le derrière de plein de gens, j’étais en sécurité, j’avais les meilleures présentations en classe. Tout semblait aller pour le mieux. Deux. Je n’ai pas de frère ou soeur. Parfois, je me dis que ma naissance était probablement un accident en soi. Mes parents étaient particulièrement occupés, si bien que souvent, ils me laissaient avec une baby-sitter, une amie de la famille qui s’occupait de moi quand ils n’étaient pas là. Elle était gentille, elle avait un fils avec qui je m’entendais bien. Je ne m’en faisais pas trop, je pensais vivre une belle vie malgré tout. Trois. Tout s’arrêta soudainement quand j’avais douze ans. Ma mère partit pour une mission et elle ne revint jamais, assassinée par un des malfaiteurs qu’elle comptait mettre derrière les barreaux. Quatre. Mon père a souffert de la perte de sa femme, j’ai souffert de la perte de ma mère. Et naïvement, j’avais cru que nous saurions quand même nous soutenir, lui et moi. On ne parlait pas beaucoup, mais je ne pensais pas qu’on avait des différends importants. Je m’étais trompé. Cinq. Ç’avait commencé par des regards froids, des paroles sèches. C’était supportable pendant un temps, puis ça ne fit qu’empirer. Ce n’était plus qu’une distance due à un deuil. C’était de la torture physique et psychologique. Six. Ma situation familiale ne vint pas m’aider à l’école. D’un élève moyen, j’étais devenu un individu arrogant, au-dessus de tout, au-dessus de ses cours. J’étais beau garçon, j’avais l’attention des filles, mais je n’avais pas celle de mes enseignants, pas la plus positive qui soit. Mon avenir ? Je m’en moquais. Parfois, je rentrais le soir en me demandant si j’allais avoir ne serait-ce qu’un lendemain. Sept. Tout finit par se retourner contre moi. À défaut d’avoir des résultats acceptables et un dossier complet, aucune université ne voulait m’accepter. Pour moi, ça pourrait le faire, je ne savais pas ce que je voulais faire de ma vie. Mon père, lui, ne le prit pas comme ça. Demandant une faveur à son alma mater, il s’assura de me faire entrer à l’académie de police. Tout ce que je voulais, c’était fuir mon père, et je n’y étais pas arrivé. Huit. Surveillé de près à l’Académie, je fus obligé de me forcer à bien faire mes classes et graduer. Je devins policier, restant à Washington, tout près. Heureusement, mon père avait été muté entre-temps. Je ne l’avais pas suivi, j’avais refusé de le suivre. Ce simple changement avait été visiblement suffisant pour me motiver à bien faire les choses. Neuf. Ce qui vint m’aider à pleinement m’épanouir dans ma profession, ce ne fut pas tant le départ de mon père, mais aussi, et surtout, mon partenaire de travail. Alors que j’étais mieux seul, lui, il était parvenu à me faire changer d’avis. Je le connus quand je passai inspecteur, il y a de cela environ huit ans. Nous avions fait l’Académie ensemble, sans toutefois prendre le temps de faire connaissance. Nous étions désormais inséparables, et je me voyais déjà travailler avec lui jusqu’à ma retraite. Dix. C’était il y a cinq ans. Nous étions en mission, il arriva à mon partenaire la même chose qui était arrivé à ma mère; il fut assassiné en service. J’étais là, quand il était décédé. Je l’avais senti partir, j’avais été obligé - ou plutôt, j’avais senti l’obligation - de l’annoncer à sa femme. Ce fut ainsi que je perdis mon meilleur ami, ma raison d’aller travailler chaque matin, en sachant que qu’importe ce qui se passait, ce serait une belle journée. Onze. Boire et fumer, c’était quelque chose que je faisais occasionnellement, pour passer les nerfs, sans abuser. Mais plutôt que d’être une activité limite récréative, cela devint un échappatoire, pas le meilleur qui soit. L’envie occasionnelle devint progressivement une dépendance, qu’importe le moment de la journée. Pendant deux ans, je n’avais pas été sobre, pas une seule fois. Même si c’était tout près, ce n’était jamais parfait. Douze. J’aurais pu continuer ainsi et être encore alcoolique, narcotique encore longtemps, puisque je ne réfléchissais pas, je ne savais pas comment j’allais passer au travers. Puis, tard un soir, je patrouillais, seul pour une fois. En fait, je ne me souvenais même pas si je patrouillais ou si je faisais seulement chercher le chemin pour rentrer chez moi. Je me retrouvai devant des individus qui avaient consommé plus que moi. Les échanges de paroles sont flous dans ma tête, je n’ai pas de souvenirs précis de ce qui a été dit. Je n’ai pas non plus de souvenirs de ce qui s’est passé. Un coup, un second, j’étais tombé au sol. Puis, je les avais laissés frapper, fermant les yeux, comme si j’espérais que leurs coups aient raison de moi, une bonne fois pour toutes. Treize. Je m’étais réveillé quelques jours plus tard. Verdict ? Hématomes, côtes fêlées, poignet cassé, commotion cérébrale. C’était qu’un bref aperçu de tout ce qui m’avait été infligé pendant cet incident, ou cette tentative de suicide imprévue. Et pour la première fois dans cet hôpital, j’étais sobre. Et ce fut dans ce moment de lucidité que je pris la décision de prendre le dessus sur mes tourments, reprendre ma vie en main. Quatorze. Après avoir obtenu mon congé de l’hôpital, je ne retournai pas au commissariat tout de suite, prenant un temps pour moi, pour repenser ma vie. Lorsque j’y retournai, c’était avec une lettre de démission. Une lettre qui avait surpris mon capitaine, si bien qu’il me demanda de ne pas complètement couper les ponts, rester non loin, aider au besoin. Je n’avais pas su refuser. Puis je rentrai chez moi, pour mettre en place ce que j’avais en tête. Quinze. Z. Clarke, détective privé. Voilà mon grand plan. Grand plan qui était probablement ridicule, mais qui me semblait le plus approprié pour continuer à utiliser mes talents de déduction, travailler avec et pour ma propre personne. Seize. Les premiers mois avaient été loin d’être simples. Heureusement qu’on m’offrait d’agir à titre de consultant sur certains dossiers. Puis, ç’avait commencé par un dossier, une femme qui voulait vérifier si son mari la trompait. Quelque chose de simple, mais qui avait été bon pour faire mousser mes affaires. Dix-sept. Cela fait trois ans que je vis de ma propre affaire, avec mon bureau dans mon appartement. Parfois, c’est occupé, parfois moins. Mais je m’organise, je n’ai pas de contraintes d’emploi du temps, je peux travailler comme je le souhaite, et ça me plait ainsi. Dix-huit. Lorsque je me sens dans une impasse psychologiquement et que j’ai envie de revenir à mes vieilles habitudes, il m’arrive de me rendre à des rencontres pour alcooliques et narcotiques anonymes. Parfois, je ne partage pas, je ne fais qu’écouter, et c’est suffisant pour que je me sente un peu moins seul. Dix-neuf. Lorsque j'ai arrêté de consommer, j’ai découvert le plaisir de manger des pâtisseries. Il a fallu que que j’apprenne à me contrôler sur ça aussi, mais il n’est pas rare qu’une boîte de donuts traine sur le plan de travail de la cuisine, ne demandant qu’à se faire vider. Vingt. Habitué aux voitures utilisées par les policiers, j’ai choisi d’en avoir une dans le même genre, soit un Dodge Challenger noir. Il m’arrive d’avoir encore le réflexe de chercher le bouton pour activer la sirène, même si ça fait un bon moment que je ne l’ai plus.

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Mayiie
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MessageSujet: Re: Fiches DSMN Fiches DSMN EmptyJeu 14 Jan - 14:20

Colton Hawthorne a écrit:
Colton Seth Hawthorne
ft. Chris Hemsworth
Prénom(s) Colton Seth. Nom dont je ne connais pas l’origine. Je ne sais pas pourquoi mes parents l’ont choisi pour moi et je ne le saurai jamais. Ça ne m’affecte pas plus que ça, d’autant plus que je ne l’utilise pas, pas en entier. La majorité des gens que je rencontre préfèrent m’appeler Cole et moi, je préfère ça aussi. La seule qui m’appelle Colton, c’est Kaitlyn, et elle est la seule qui peut le faire sans que ça me dérange.
Nom Hawthorne. Malgré tout ce qui s’est passé, je n’ai pas changé mon nom de famille. Je l’ai porté bien souvent comme un fardeau. Maintenant, ça me rend totalement indifférent. Je ne m’y identifie plus vraiment, c’est un nom que je porte, et voilà tout.
Âge Il y a quelques mois de ça, j’ai souligné mes trente-quatre ans Je suis presqu’à mi-chemin vers mes trente-cinq ans.
Date & Lieu de naissance J’ai vu le jour le dix avril mille neuf cent quatre-vingt-six dans un des quartiers les plus pauvres et mal famés de Washington, aux États-Unis.
Métier / Etudes Étiqueté comme un cancre et bon à rien depuis mon enfance, je n’ai même pas de diplôme. J’ai décidé d’arrêter le lycée quelques mois avant de terminer, sachant très bien que les chances étaient faibles que j’obtienne mon diplôme au vu de mes résultats médiocres. Après, je n’ai jamais vraiment fait dans la légalité, ce qui veut dire que je n’ai jamais eu d’emploi très stable. Depuis ma sortie de prison, je travaille comme agent d’entretien au centre commercial. L’expérience que j’avais pour ça ? C’était le travail qu’on m’avait donné en prison.
Origines & Nationalité Je suis de nationalité américaine Pour mes origines, je ne connais pas suffisamment la famille respective de mes parents pour savoir d’où ils viennent, qu’est-ce qui en est de leurs ancêtres. Je m’en tiens donc à dire que je suis aussi d’origine américaine.
Orientation sexuelle J’ai toujours été et je suis toujours hétérosexuel et ce, même si on a tenté de me convaincre que faire croire le contraire pourrait m’aider pendant mon passage derrière les barreaux.
Situation amoureuse Officiellement, je suis célibataire. Toutefois, ça ne veut pas dire que je cherche à trouver quelqu’un et me mettre en couple. Non seulement les engagements à long terme, ça n’a jamais été fait pour moi. De plus, je ne me vois pas être proche de personne d’autre que d’une personne en particulier. Est-ce que c’est ça, être amoureux ? Je me pose encore la question.
Situation financièrePuisque je commence tout juste à avoir un revenu et que j’apprends encore à le gérer, je ne peux pas dire que j’ai une situation financière confortable. Le seul mot qui peut vraiment qualifier mon statut est pauvre à mon avis. Heureusement, je ne suis pas à la rue, et j’ose espérer que je vais parvenir à m’y faire progressivement.
CaractèreSensible est à la fois une qualité et un défaut me concernant. Qualité parce que je peux porter attention aux gens que j’apprécie, défaut parce que ça me rend naïf. Naïf parce que le fait de ne pas avoir d’amis, de famille, m’a poussé à devenir dépendant, m’attacher alors que je n’aurais pas dû. Par contre, le fait de voir les gens se retourner contre moi m’a rendu bien rapidement rancunier et incapable de pardonner facilement, ou pardonner tout court. Le fait d’avoir dû grandir seul m’a rendu particulièrement solitaire et parfois difficile d’approche. Tenir une conversation, sauf avec les gens avec qui je suis vraiment à l’aise, ce n’est pas fait pour moi. Toutefois, ça m’a aussi rendu débrouillard, parce que j’ai toujours été obligé de tout faire tout seul, sans pouvoir demander l’aide de qui que ce soit.
Groupe Neville Londubat

anecdotes
Un. Je ne me souviens pas de ma mère. J’ai quelques souvenirs flous, mais rien de tendre, rien qui me montrait qu’elle m’aimait. Elle m’a portée, m’a mise au monde, puis elle est décédée d’une overdose. < b>Deux. Si je ne sais pas qui est ma mère, je sais que mon père, lui, il lui en a voulu. Voulu de mourir. Non pas parce qu’elle consommait, il le faisait aussi. Mais parce qu’il se retrouva coincé avec moi. Il me gardait tout juste en bon état pour que les services sociaux ne viennent pas me chercher et qu’il soit privé de l’allocation à laquelle il avait droit puisqu’il avait un enfant à la charge. Ça ne voulait pas dire qu’il me gardait dans un état optimal. Psychologiquement, c’était la catastrophe. Trois. Il fallait que je me fasse le plus petit possible, mais pas trop. Si j’étais invisible, je ne mangeais pas, puisqu’il oubliait de me faire un repas. Si j’étais trop imposant, il s’emportait, m’obligeant à me cacher dans ma chambre et empiler le peu de biens que j’avais pour l’empêcher d’entrer dans la petite pièce qui me servait de chambre. Quatre. Un soir, ma petite pile ne l’a pas arrêté. Il est entré dans ma chambre, rageant. Il m’a tiré hors de la chambre, prêt à me frapper. Me protégeant la tête, j’avais reculé, jusqu’à l’extérieur, sur le balcon de ce miteux appartement où j’avais passé les premières années de ma vie. Il s’est jeté sur moi, je me suis décalé et il a chuté du balcon, s’écrasant trois étages plus bas. Cinq. Un enfant de huit ans qui a tué son père ? Je sais que l’hypothèse a couru sur les lèvres de tout le monde. Mais personne n’a voulu le voir comme ça. C’était un accident, me disaient-ils. Tout s’est enchaîné trop vite pour que moi je mette un mot sur ce qui était arrivé. Entre les secours, les services sociaux, tous ceux qui m’ont entouré bien rapidement en espérant me trouver un meilleur avenir, il y a des flous dans mes souvenirs, que je ne suis pas nécessairement prêt à combler, encore aujourd’hui. Six. La première famille d’accueil qui me prit en charge ne me garda pas longtemps. La mère tomba enceinte, ils avaient besoin de place. La seconde, elle m’avait prise que pour l’argent. Comme la troisième. Personne ne cherchait à s’attacher à moi. Sept. Dans ces familles, j’en ai vu s’endurcir au fait de n’avoir personne sur qui se fier, une personne de confiance. J’ai tenté de faire de même, sans y parvenir. J’ai trouvé une amie, une amie précieuse. Heureusement qu’elle était là, qu’elle l’est encore aujourd’hui. Huit. Malheureusement, son amitié n’a pas été suffisante pour m’empêcher de faire de mauvais choix. Ç’a commencé par une connaissance, un soir, alors que je traînais, refusant de rentrer chez moi. Une connaissance qui avait des contacts, des contrats, çà et là. La personne est devenu un groupe, ravi de me voir apparaître. Une ombre, une personne que peu de gens remarquent, c’était parfait pour eux. Neuf. Ils m’ont fait sentir spécial, comme si je pouvais appartenir à leur groupe, pendant un temps. Mieux encore, ils m’ont permis de devenir indépendant. En échange de quoi ? De services, rémunérés. Transporter de la drogue, procéder à des transactions, rapporter l’argent, obtenir une part du butin. Dix. Ma vie s’est résumée à ça pendant de nombreuses années. Membre d’un petit gang qui vendait de la drogue à tout désespéré qui voulait avoir sa prochaine dose. Je payais mes factures comme ça, je pouvais avoir un mode de vie normal, mais je n’avais pas un emploi normal. Onze. J’ai quitté le lycée six mois avant la remise des diplômes, sachant que je ne l’aurais pas. Cancre et malhabile, mes notes étaient pathétiques et personne ne souhaitait vraiment m’aider. Je me suis consacré à temps plein à ce que je considérais être mon boulot. Douze. Malgré le contact étroit que j’avais avec de nombreuses substances, malgré la liberté que j’avais à la fin de transporter le tout où je voulais, comme je voulais, je n’ai jamais cédé à la tentation de consommer. En fait, la tentation ne m’est jamais vraiment venue. Il faut croire que le passé de mes parents a joué dans ma tête plus que je pensais. Le plus près de l’addiction que j’ai passé, c’est de fumer la cigarette, occasionnellement, quand on me l’offrait. Treize. J’ai toujours été prudent. Pendant longtemps. Puis quand j’ai eu vingt-huit ans, je me suis fait prendre. Ou plutôt, quelqu’un m’a dénoncé, c’est encore l’hypothèse la plus plausible dans ma tête, et j’ai eu beaucoup de temps pour y songer. Quatorze. Verdict ? Sept ans de prison, avec une possibilité de sortir après cinq si je me comportais bien. Faute d’avoir vraiment les moyens, j’avais un avocat payé par les services publics, de basse classe, peu motivé à m’aider. Je ne cherchai pas à me défendre non plus. Je savais que j’allais prendre plus si je cherchais à faire croire que j’étais innocent en sachant que je ne l’étais pas. Quinze. La vie en prison m’a appris bien des choses. Faire sa place, ne pas se laisser marcher dessus, surveiller constamment ses arrières. Je le faisais déjà, mais c’était à un tout autre niveau, un niveau où ce n’était pas ma prochaine liasse de billets qui était en jeu, mais ma vie, j’en eus l’impression parfois. Seize. À ma surprise, mon temps derrière les barreaux m’a permis d’apprécier davantage le sport. Le football américain est devenu un de mes favoris. Évidemment, sans contact, mais le principe et le jeu a suscité un vif intérêt chez moi. Je me surprends à regarder des matchs à la télé maintenant. Dix-sept. Un de mes refuges était aussi la bibliothèque. Ironiquement, j’ai développé un intérêt pour les romans policiers et d’action. Dix-huit. J’ai obtenu ma libération conditionnelle en avril dernier, après un peu plus de cinq ans derrière les barreaux. Conduite irréprochable, m’avait-on dit, mais au vu de ma peine de départ, je ne peux pas sortir du pays, je dois me rapporter à un agent de libération régulièrement et surtout, je dois avoir une vie bien rangée. Dix-neuf. C’est mon agent qui m’a permis de me trouver un emploi comme agent d’entretien au centre commercial. Il a fait peu d’effort et s’est fié à ce que je faisais comme travail en prison, visiblement. Mais pour le reste, j’ai le sentiment que je dois me débrouiller seul. Vingt. Heureusement, je ne suis pas seul. Dès ma sortie, elle était là pour moi. Elle m’a offert un toit, elle m’est venue en aide pour gérer tout ça. Elle a toujours été là, j’ai envie de croire qu’elle le sera toujours.

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MessageSujet: Re: Fiches DSMN Fiches DSMN EmptyJeu 14 Jan - 14:22

Elian Fitzgerald a écrit:
Elian James Fitzgerald
ft. Aaron Tveit
Prénom(s) Elian, le prénom que mes parents m'ont donné à ma naissance. Je n'ai jamais su d'où il le venait, à défaut d'avoir le temps de leur poser la question. James, c’est le prénom de mon paternel. Rien de bien surprenant, un classique.
Nom Attaché à mon nom de naissance, bien qu’on m’a suggéré bien des fois de me libérer, de prendre un autre nom, celui de naissance de ma mère, je n’ai jamais su m’en départir. Fitzgerald est donc mon nom de famille.
Âge J’ai eu trente-cinq ans au début de l’année. Puisque cette année est sur le point de se terminer, j’aurai donc bientôt trente-six ans.
Date & Lieu de naissance J’ai vu le jour le vingt-et-un janvier mille neuf cent quatre-vingt-cinq à Dallas, Texas, États-Unis.
Métier / Etudes Passionné de musique depuis toujours, il n’est pas étonnant que j’ai décidé de poursuivre cette voie. J’ai donc fait mes études à Juilliard, majorant en musique avec une mineure en composition. Après avoir obtenu quelques contrats çà et là, je suis revenu m’installer à Washington et depuis, j’occupe un poste de premier violon dans le National Symphony Orchestra. Plus encore, je suis candidat potentiel pour en être le prochain chef d’orchestre.
Origines & Nationalité Du peu que je sais sur ma famille, il me semble que celle-ci est américaine et que mes origines ne sont pas d’ailleurs. J’ai également la nationalité américaine
Orientation sexuelle Bisexuel Je ne le crie toutefois pas sur tous les toits. Pas tant que ça me dérange mais au vu de ce qui s'est passé avec moi. Ces derniers temps, j'ai une préférence pour les femmes.
Situation amoureuse Célibataire et confortable dans cette situation. Après une déception des plus lourdes à porter, je ne m’engage plus, et je ne compte pas le faire de sitôt.
Situation financière Confortable je gagne bien ma vie mais je ne suis pas très riche non plus. Je pourrais l'être si je ne dépensais pas, mais j'aime profiter.
Caractère Intense est un trait qui me décrit bien. Lorsque je fais quelque chose, j’ai tendance à le faire à fond et ce, qu’importe dans quelle facette de ma vie. Ça peut passer par ma passion pour la musique, mon souci du détail, mes superstitions. C’est parfois difficile de garder le rythme avec moi. Renfermé. Je sais que j’ai un caractère unique et je l’assume parfaitement. Je suis capable d’être sympathique, mais j’ai aussi tendance à être dans mon propre monde, y être bien et vouloir y rester. Authentique. Je ne cherche pas à être une autre personne. Si je ne suis pas accepté tel que je suis, c’est tant pis, et je n’insisterai pas. Loyal. Jugé, je suis loin d’être sympathique. Accepté, je ne suis pas du genre à lâcher ceux qui m’apprécient - et que j’apprécie en retour - bien rapidement. Honnête. Dans le même ordre d’idées, je ne suis pas du genre à mentir ou jouer les hypocrites. En fait, je déteste toute personne qui fait ça, alors il serait illogique que je fasse de même.
Groupe Kurt Hummel


anecdotes
Un. Dans mes temps libres, j’aime composer de la musique. Cependant, mes compositions sont un peu éclectiques et intenses pour que je laisse les autres l’entendre. Je le fais surtout parce que moi, ça me fait du bien. Deux. Lorsque je joue, je m’oublie. Je me surprends à jouer les yeux fermés, je me laisse emporter par la musique. Passionné par mon art, c’est le seul qui me permet de me sentir bien, comme une drogue. Trois. Depuis que je fais partie d’un orchestre, j’ai pour ambition de devenir chef d’orchestre. Le fait que ce rêve est sur le point de se réaliser est plus qu’excitant. Quatre. J’habite dans une maison en banlieue, isolée du monde. Ainsi, je peux jouer sans que quelconque voisin ne s’en plaigne. Cinq. Outre le violon, je joue encore du piano à l’occasion, de la guitare pour le plaisir entre amis, et j’apprends le saxophone en autodidacte. Six. Il m’arrive d’aller visiter mon ancien lycée, ou plutôt, d’aller payer une visite à mon ancien professeur de musique, parfois pour le plaisir, parfois pour l’aider avec ses élèves. Sept. J’ai l’oreille absolue. Je peux déterminer sur quelle note une personne chante, ou sur quelle note un instrument est joué. Huit. J’écoute de la musique dès que je peux. Je ne la choisis pas par genre, mais selon mon humeur. Neuf. À défaut de vouloir m’engager, j’enchaîne les relations d’un soir, parfois les amies avec bénéfices, toujours avec des femmes. Je n’ai jamais cherché à m’attirer les faveurs d’un homme depuis mon retour à Washington. Dix. Je déteste ranger et faire le ménage, sauf pour nettoyer mes instruments. J’ai embauché une personne qui vient faire mon ménage une fois par semaine. Onze. Je porte toujours une chaîne au cou avec une bague autour. La chaîne de ma mère, l’alliance de mon père. Je ne m’en sépare en aucun cas. Douze. Avant une représentation, j’ai toujours le même rituel. Je mange toujours la même chose, je pose toujours les mêmes gestes. Ce n’est pas tant une superstition, mais une habitude. Treize. Je porte un complet prescrit lors des représentations et je m’attache les cheveux lorsque ceux-ci sont trop longs, mais dans des circonstances informelles, je ne m’habille pas souvent de façon propre, appréciant grandement le jean et le t-shirt. Quatorze. Je suis pesco-végétarien. Je ne mange pas de viande, mais je mange à l’occasion du poisson, des fruits de mer, et surtout des sushis. Quinze. Je suis fumeur. De cigarette bien souvent, même si parfois, un joint ne me fait pas de mal. Seize. J’écoute encore de la musique sur mon IPod classique. Dix-sept. J’adore la nourriture italienne. Les pâtes sauce marinara et la pizza végétarienne me font fondre. Dix-huit. Je conduis un Toyota Tacoma, comme mon père le faisait lorsque j’étais petit. Il est grand, il peut tout faire entrer.


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MessageSujet: Re: Fiches DSMN Fiches DSMN EmptyJeu 14 Jan - 14:23

Teddy Reynes a écrit:
Theodore dit "Teddy" Junior Reynes
ft. Stephen Amell
Prénom(s) Theodore Junior est mon prénom complet, puisque je porte le même prénom que mon paternel, mais plus souvent qu'autrement, on m'appelle Teddy.
Nom Mon nom de naissance est Keating, mais suite à mon retour au pays, je l'ai changé pour Reynes, histoire de partir sur une nouvelle base. Je ne suis pas allé chercher très loin, c’est le nom de jeune fille de ma mère.
Âge Tout juste âgé de trente-huit ans.

Date & Lieu de naissance J’ai vu le jour le huit novembre mille neuf cent quatre-vingt-deux à Arlington, Virginie. Mon domicile n’a jamais été bien loin de Washington, là où j’habite aujourd’hui.

Métier / Etudes Après avoir fait mes études à l’académie militaire, je suis devenu tireur pour l’armée américaine, avant d’être recruté par une division spéciale de services secrets à l’étranger. J’ai travaillé dans un petit restaurant pendant un temps, pour finalement occuper un poste d’agent de sécurité dans un musée, un emploi simple, de jour, qui me permet de passer du temps avec ma famille.
Origines & Nationalité Malgré mes nombreux voyages, je suis et je suis toujours resté de nationalité américaine. Je viens de la famille la plus américaine et conservatrice qui soit, ou presque.
Orientation sexuelle J’ai toujours été hétérosexuel et ça ne changera pas. De plus, j’ai l’intention de m’orienter vers une seule et unique personne jusqu’à la fin de ma vie.
Situation amoureuse Je suis marié depuis maintenant dix ans. Je suis également père d’un petit garçon, Freddie, qui aura bientôt six ans. Au mois de décembre, je serai père une seconde fois, cette fois-ci d’une petite fille.

Situation financière Après avoir passé un bon moment sans le sou, je recommence à avoir un revenu régulier, faisant en sorte que je peux soutenir ma famille. Je ne me considère pas riche, mais j’ai un salaire moyen et c’est bien comme ça.
Caractère Je n’ai pas eu les parents les plus aimants qui soit, faisant en sorte que j’ai toujours été renfermé sur moi-même, et ça n’a pas changé avec le temps. Toutefois, ça ne veut pas dire que ça ne fait pas de moi un bon ami. En effet, je considère que je suis loyal, incapable de laisser tomber les gens que j’aime. Laissé à moi-même bien souvent, ç’a fait de moi un individu solitaire mais aussi indépendant et capable de s’organiser. Cette indépendance est probablement ce qui m’a permis de survivre tout ce temps sans aucune ressource. Ma carrière m’a toutefois rendu méfiant et plus sensible que je veux l’admettre parfois. Je travaille fort à être vulnérable quand je sais que je peux l’être, ce qui n’est pas toujours facile. Finalement, qu’importe si c’est dans mon travail ou dans ma vie personnelle, j’estime que je suis quelqu’un de travaillant et que je sais persévérer pour arriver au bout de quelque chose.
Groupe Neville Londubat

anecdotes
Un. Je viens d’une famille strict, une longue génération de militaires. Mon père a fait la guerre du Viet Nam, mon grand-père, la Deuxième Guerre mondiale, mon arrière-grand-père, la Première Guerre mondiale. Le métier de soldat, ce n’était pas qu’une carrière respectée dans ma famille, c’était une route inévitable. Deux. Je me suis mise cette idée bien rapidement dans la tête. Et comme si je tentais de me conditionner à ce destin, je n’avais jamais été le plus extraverti qui soit. Adolescent, je faisais ce que j’avais à faire. Parfois j’étais en colère, parfois je pouvais profiter d’un bon moment, avec ces amis qui prenaient le temps de mieux me connaître, ce qui n’arrivait pas souvent. Trois. L’académie militaire m’attendait à bras ouverts après le lycée, avec une réputation due aux photos des anciens gradués qui ornaient les murs. Mon père, mon grand-père… Je ne pouvais pas décevoir qui que ce soit. Heureusement, l’apprentissage venait plutôt naturellement. Mon parcours scolaire à l’académie ne fut pas si compliqué, et je graduai parmi les meilleurs de ma classe. Quatre. Qui dit bon résultats dit une place de choix dans l’armée tout de suite après. J’entrai dans les Marines et je fus envoyé en mission dans les premiers mois suivant la fin de ma formation. À partir de ce moment, j’ai passé plus de temps en territoire étranger qu’aux États-Unis. Ce qui n’était pas plus mal, puisque ça me permettait de me faire une vie autre que celle que je menais dans les traces de ma famille. Cinq. Ces missions à l’étranger auraient pu m’empêcher d’avoir une famille à moi, mais j’eus assez de chance pour que ce ne soit pas le cas. Il y a un peu plus dix ans, je l’ai rencontrée elle, Hazel. Cette femme magnifique qui a choisi de m’accepter pour ce que j’étais, ce que je faisais. Six. Au mois de septembre de l’année deux-mille-dix, Hazel et moi nous nous sommes dits oui pour la vie. Pour le meilleur et pour le pire. Et à ce moment, je me suis promis que lorsque je pourrais être auprès d’elle, je ferais tout pour la rendre la plus heureuse qui soit. Sept. Malgré ma nouvelle vie d’époux qui faisait en sorte que je me coupais complètement de l’armée lorsque j’étais en permission, et que désormais, je n’hésitais plus à prendre des congés les plus longs qui soit, je continuais à faire mon travail au front. Et je le faisais si bien que je fus approché pour faire des missions en solitaire, plus dangereuses, mais aussi plus gratifiantes, tant au niveau professionnel qu’au niveau financier. Huit. Quatre ans après notre mariage, Hazel m’a fait la plus belle surprise qui soit; m’apprendre qu'elle était enceinte de notre enfant. Celui-ci a vu le jour au mois de janvier deux mille quinze. Nous lui avons donné le nom de Franklin, pour finalement passer tout notre temps à l’appeler Freddie. Neuf. Je savais d’emblée que j’allais rater des évènements importants de la vie de notre fils. Je ne pensais pas que j’allais rater plusieurs années de sa vie toutefois. Je n’aurais jamais pu le savoir, pas même le jour où, pendant une de ces missions en solitaire, je fus démasqué, enlevé, puis emprisonné. Dix. Je n’ai jamais su combien de temps je suis resté emprisonné dans cette petite cellule, qui n’en était pas une, qui était plutôt similaire à un trou dans le sol qu’on utilisait comme pièce. J’avais tenté de garder le compte, mais je n’y étais pas parvenu. Rapidement, ma priorité était devenu le fait de survivre, de ne rien dire, de refuser de parler, de donner des informations cruciales, malgré la torture, malgré les coupures, les menaces. Onze. Fort probablement lorsqu’ils ont réalisé que ça ne servait à rien de me regarder, ils ont décidé de me relâcher. Sans aucun sac, sans nourriture, rien du tout, dans le milieu du désert. J’ai marché pendant des jours, pour trouver un village, pour trouver de la nourriture. Douze. Des mois à essayer de trouver à manger chaque jour, tenter de prévoir un retour vers l’Amérique, et pourtant, tout ce à quoi je pensais, à qui je pensais, c’était ma femme et notre fils. Elle avait été la raison pour laquelle j’étais parvenu à rester fort, dans l’espoir de les revoir, tous les deux. D’ailleurs, malgré toutes les heures sous la torture, jamais personne n’est parvenu à me retirer mon alliance. Treize. Lorsque je suis finalement parvenu à rentrer aux États-Unis, j’ai eu une idée du jour, de l’année que nous étions. J’ai perdu espoir qu’Hazel avait attendu mon retour, après tout ce temps sans être capable de lui donner des nouvelles. Je n’ai pas osé rentrer chez moi. Sans le sou, puisque j’avais tout dépensé pour mon retour, j’ai commencé à errer dans les rues, sans-abri. Quatorze. Un matin, dans la rue, alors que je buvais un café, le seul que j’avais pu me payer avec le peu d’argent que j’avais amassé, un petit garçon est venu me donner un billet. Encore aujourd’hui, je suis persuadé que c’est mon fils. Ce fils qui ne m’a pas reconnu, cet enfant qui m’a donné le courage de reprendre ma vie en main. Même si je devais me faire à l’idée qu’Hazel s’était remariée, je ne pouvais pas la laisser dans le flou éternellement. J’ai pris un emploi dans un petit restaurant, je me suis trouvé un petit logement, et quand j’eus trouvé le courage, je me rendis dans cette maison que nous partagions, ma femme, mon fils et moi, et j’attendis, pour la revoir. Quinze. Je ne sais pas ce que j’ai fait pour mériter ce dénouement. Hazel ne m’a pas rejetée, au contraire. Elle m’a laissé revenir dans sa vie, apprendre à connaître notre fils, sans me tenir rancune, sans me juger sur le temps difficile que je lui avais fait passer après mon retour. J’étais incapable de lui parler de ce qui s’était passé. Elle devait s’en douter, vu toutes ces traces sur mon dos et ce bout de doigt manquant qui ne reviendrait plus. Seize. Il m’a fallu plusieurs semaines pour lui avouer ce qui s’était passé, en bref, sans entrer dans les détails, puisque je n’y parvenais pas. Mais cet aveu nous a rapprochés. Plus encore, alors que j’avais du mal à me mettre à nu devant elle - mentalement et physiquement - je suis devenu plus confortable, commencer à me sentir mieux. Dix-sept. Ce qui m’a permis de vraiment passer à autre chose, me convaincre de démarrer une nouvelle vie avec ma famille, c’est le fait que celle-ci est sur le point de s’agrandir. Au mois de mars dernier, nous avons appris qu’Hazel était enceinte, d’une petite fille, qui va voir le jour au mois de décembre. C’était tout simplement inattendu. Moi qui ne demandait qu’à revoir ma femme une fois, j’allais pouvoir recommencer à neuf, et je ne voulais pas la décevoir de quelconque façon. Dix-huit. Depuis plusieurs semaines maintenant, je vois un thérapeute pour m’aider avec mes traumatismes, et j’ai un nouvel emploi, d’agent de sécurité dans un musée. Rien de compliqué, mais approprié, et suffisant pour payer les factures. Dix-neuf. Je ne veux pas l’admettre à voix haute, mais rattraper le temps perdu avec Freddie est parfois difficile. Pas à cause de lui, au contraire, il est le meilleur. Mais parfois, je regrette de ne pas avoir su être avec lui, et je sais que je ne pourrai jamais changer ça. J’espère juste qu’il ne m’en voudra pas en sachant que je pourrai vivre ces moments avec sa soeur. De plus, j’espère pouvoir être à la hauteur pour cette petite fille qui arrive bien rapidement. Vingt. À défaut d’en avoir utilisé bien souvent ces dernières années, j’ai encore du mal à utiliser certains appareils électroniques. Heureusement, je ne dois pas en utiliser énormément dans mon métier, autrement, je n’aurais pas fini de me faire juger pour ça.

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MessageSujet: Re: Fiches DSMN Fiches DSMN EmptyJeu 14 Jan - 14:24

Zayn Clarke
Someone that I used to know
Prénom : Zayn, qui signifie "beauté" en arabe. Nom : Clarke, nom du paternel. Âge : Quarante-et-un ans, mais je ne les fais pas. Date & lieu de naissance : Le vingt-deux mars mille neuf cent soixante-dix-neuf à Alexandria, en Virginie, à quelques minutes de Washington. Métier/Études : Étudiant de la Metropolitant Police Academy, policier pendant plusieurs années, maintenant détective privé à mon compte depuis 2017. Origine et nationalité : Américain, américaine. Orientation sexuelle : Hétéroseuxel. Situation amoureuse : Célibataire et capable d'avoir une relation stable. Situation financière : Suffisante pour payer les factures, et parfois quelques plaisirs. Caractère : Rancunier, honnête, loyal, exigeant, colérique.
Un peu plus à mon sujet
Mon père travaillait pour la police de Washington et ma mère pour le FBI. + Ma mère est décédée quand j'avais douze ans, tuée en service. + Mon père a mal pris le décès de ma mère et a commencé à me maltraiter psychologiquement et physiquement. + Élève arrogant et cancre, je n'avais aucun avenir brillant devant moi. Ce sont les connexions de mon père qui m'ont permis d'entrer à l'académie de police, son alma mater. + J'ai réussi à m'épanouir dans mon travail grâce à mon partenaire. Il est décédé il y a cinq ans et j'ai eu du mal à m'en remettre. + J'ai bu et consommé de la drogue pendant un bon moment. Mon état d'ébriété m'a mené à l'hôpital. + J'ai démissionné de la police après l'incident et j'ai décidé de devenir sobre. Je me contrôle désormais, mais je ressens parfois le besoin d'aller à des réunions d'alcooliques et narcotiques anonymes. + Même si je travaille à mon compte comme détective privé, je suis consultant à l'occasion pour la police. + Je conduis un Dodge Challenger noir, similaire aux voitures conduites par les policiers. + J'ai la dent sucrée.
Mon répertoire de liens
Connor Bennett : Ami
Hazel Keating : Ancienne cliente, amie, mère de sa filleule
Sophia Anderson : Meilleure amie... Et peut-être plus ?
Tamara Wordsworth : Connaissance d'il y a trois ans, a redécoré son appartement.
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MessageSujet: Re: Fiches DSMN Fiches DSMN EmptyJeu 14 Jan - 14:24

Teddy Reynes a écrit:
Teddy Reynes
You are the one who kept me alive
Prénoms : Théodore Junior, mais tout le monde m'appelle Teddy. Nom : Keating de naissance, changé en 2019 pour Reynes, pour partir sur de nouvelles bases. Âge : Trente-huit ans. Date & Lieu de naissance : Le huit novembre mille neuf cent quatre-vingt-deux à Arlington, en Virginie. Métier/Études : Anciennement tireur pour l'armée américaine, recruté dans une division spéciale. Maintenant agent de sécurité au musée d'histoire naturelle. Origines & nationalité : Américain, américaine. Orientation sexuelle : Hétérosexuel. Situation amoureuse : Marié depuis 2010. Père de deux enfants. Situation financière : Suffisante pour payer les factures. Caractère : Renfermé, loyal, solitaire, indépendant, méfiant, sensible, travaillant.
Un peu plus à mon sujet
Je viens d'une famille stricte de militaires. L'Académie militaire était inévitable à la fin du lycée. + J'ai gradué parmi les meilleurs de ma classe à l'Académie. La pression de voir mon père et mon grand-père. + Je suis entré dans les Marines et je suis rapidement parti en mission. + Mes petites permissions m'ont quand même permis de rencontrer une personne avec qui passer le reste de ma vie, Hazel. Nous nous sommes mariés en septembre 2010. + Nous avons eu un fils en janvier 2015, Franklin, que nous appelons toujours Freddie. + Quelques mois après la naissance de notre fils, j'ai été capturé et emprisonné. J'ai été relâché après un temps que je ne saurais déterminer. + Je suis rentré par mes propres moyens aux États-Unis, sans le sou. J'ai été sans-abri pendant un certain temps. + J'ai attendu de trouver un emploi et remettre ma vie ensemble pour retourner voir ma femme, persuadé qu'elle avait refait sa vie. + J'ai remis ma vie en place après l'avoir retrouvée, avec notre fils. Je vois un psychologue et j'ai trouvé un emploi qui me convient. Je voulais aussi m'assurer d'être prêt pour la naissance de notre deuxième enfant, notre petite surprise. + Notre fille, Jaime Meagan Keating, est venue au monde le 18 décembre 2020.
Mon répertoire de liens
Elvyra Folck : Connaissance.
Hazel Keating : Sa femme, la mère de ses enfants, son pillier.
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MessageSujet: Re: Fiches DSMN Fiches DSMN EmptyJeu 14 Jan - 14:59

Colton Hawthorne a écrit:
Colton Hawthorne
If I keep going down that road, I ain't gonna win
Prénoms : Colton Seth, origine inconnue. Nom : Hawthorne, nom de famille de naissance, inchangé. Âge : Trente-quatre ans Date & lieu de naissance : Le dix avril mille neuf cent quatre-vingt-six dans un quartier pauvre de Washington. Métier/Études : Sans diplôme, anciennement dealeur, maintenant agent d'entretien au centre commercial. Origine et nationalité Américain. Orientation sexuelle : Hétérosexuel Situation amoureuse : Célibataire, mais son coeur est pris par sa colocataire. Situation financière : Pauvre, en voie d'avoir quelques petites économies. Caractère : Naïf, rancunier, solitaire, débrouillard, sensible.
Un peu plus à mon sujet
Je n'ai pas connu ma mère, elle est décédée d'une overdose. + Mon père ne voulait pas s'occuper de moi. Pour lui, j'étais une calamité. + Alors que je le fuyais parce qu'il menaçait de me frapper, il est tombé du balcon de l'appartement et est décédé sur le coup. J'avais huit ans. + J'ai été confié aux services sociaux sans trouver une famille qui voulait vraiment m'apprécier. + Je suis entré dans un gang de rue quand j'étais adolescent. + J'ai quitté le lycée six mois avant la fin de l'année, sachant que je n'aurais pas mon diplôme. + Je n'ai jamais consommé de drogue, malgré la quantité qui a pu passer entre mes mains. + À vingt-huit ans, j'ai été arrêté. Je ne cherchai pas à me défendre, plaidant tout de suite coupable, faute de trouver un bon avocat et sachant bien que j'étais une cause perdue. + J'ai passé cinq ans en prison. J'ai fait profil bas, me réfugiant souvent à la bibliothèque. J'ai développé un intérêt pour les romans d'action. + J'ai obtenu ma libération conditionnelle en avril 2020 pour bonne conduite. + J'habite avec mon amie de longue date, Kaitlyn. C'est elle qui m'aide depuis ma sortie de prison pour intégrer la vie normale.
Mon répertoire de liens
Connor Bennett : Avocat qui s'est occupé de son dossier
Elliott S. Collins : Ami de longue date.
Kaitlyn Harper : Amie, colocataire... Et plus ?
London Temple : Connaissance, collègue d'une journée.
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MessageSujet: Re: Fiches DSMN Fiches DSMN EmptyJeu 14 Jan - 14:59

Elian Fitzgerald a écrit:
Elian Fitzgerald
I'm fired up and tired of the way that things have been
Prénoms : Elian, prénom donné à la naissance. James, prénom du paternel. Nom : Fitzgerald, nom du père. Âge : Trente-cinq ans. Date & Lieu de naissance : Vingt-et-un janvier mille neuf centre quatre-vingt-cinq à Dallas, Texas, États-Unis. Métier/Études : Diplômé de Juilliard, premier violon du National Symphony Orchestra, candidat potentiel pour devenir le prochain chef d'orchestre. Origines & nationalité : Américaine, américain. Orientation sexuelle : Bisexuel, avec une préférence pour les femmes. Situation amoureuse : Célibataire et confortable dans cette situation. Situation financière : À l'aise, mais pourrait être mieux. C'est ça, dépenser... Caractère : Intense, renfermé, authentique, loyal, honnête.
Un peu plus à mon sujet
Faits : Je compose ma propre musique + J'habite dans une maison reculée en banlieue pour que personne ne se plaigne du fait que je joue. + Je joue du violon, du piano, de la guitare et j'apprends le saxophone en autodidacte. + J'ai l'oreille absolue. + Je déteste ranger et faire du ménage, sauf pour prendre soin de mes instruments + Je suis superstitieux, surtout avant un spectacle. + Je suis pesco-végétarien. + J'adore la nourriture italienne. + Je conduis un Toyota Tacoma.
Histoire : J'ai perdu mes parents quand j'avais dix ans. + J'ai été recueilli par mon oncle et séparé de ma soeur. C'est à ce moment que je me suis installé à Washington. + J'ai retrouvé l'intérêt pour la musique lorsque j'étais adolescent. + J'ai étudié à Juilliard, à New York. + J'ai passé six ans à New York, enchaînant les contrats de musicien. J'y ai aussi eu une histoire d'amour foireuse. + Après ma séparation je suis revenu à Washington et j'ai obtenu le poste de premier violon. Je fais partie de l'orchestre depuis 2012. + Prochainement, le chef d'orchestre va prendre sa retraite. Je suis pressenti pour prendre sa place.
Mon répertoire de liens
Gabriella Belloua : Cousine, soeur adoptive.
Thiago Fitzgerald : Oncle, père adoptif
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