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SKYLAR - fiche

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MessageSujet: SKYLAR - fiche SKYLAR - fiche EmptyMar 31 Oct - 14:08


 
Skylar Oakley

Feat. Bethany Joy Lenz




         
         
Identité
Prénom(s) : Skylar, mon deuxième prénom étant Victoria mais ce n'est pas nécessairement un prénom que j'aime beaucoup et en plus de ça il me semble que les deuxième ou troisième prénoms sont inutiles. Je m'appelle Skylar Oakley et cela est bien suffisant, il ne me plairait pas de devoir me présenter comme étant Skylar Victoria Oakley, ce n'est pas très esthétique et pas très pratique non plus.
Nom : Oakley, nom de famille basique, à moins de me marier un jour, mon nom ne changera pas mais je n'ai pas à me plaindre, il n'est pas horrible et il ne va pas si mal que ça avec mon prénom.
Date et lieu de naissance : Je suis née le 18 novembre 1982 à Atlanta, je suis donc âgée de 34 ans.
Nationalité/Origines : Américaine.
Situation familiale (célibataire, marié, divorcé, veuf,...) : En couple.
Situation financière (pauvre, aisé, très aisé,...) : Aisé, j'ai ce qu'il faut pour payer mes factures, j'estime que c'est déjà pas mal.
Orientation sexuelle : Teddysexuelle, hétérosexuelle quoi.
Métier/Etudes : Styliste, c'est un métier qui m'a toujours passionné et que j'ai toujours voulu exercer. Je suis heureuse d'avoir pu arriver à ce que je voulais, j'ai au moins la chance de me lever le matin avec l'envie d'aller travailler puisque je fais un métier qui me plait. C'est plutôt pas mal, je suis depuis peu dans la vie active et j'ai encore pas mal d'années à travailler donc c'est bien mieux de faire quelque chose dont j'ai la passion depuis toujours.
Groupe : Aventuriers.
Avatar : Bethany Joy Lenz.
         

       
Caractère



Anecdotes

Petit un Quand j’étais petite, j’ai trouvé un chaton abandonné dans la rue. J’ai eu vraiment mal au cœur de le voir comme ça alors j’ai décidé de le prendre et de le ramener chez moi. Je l’ai nommé Lucky, car je trouvais qu’il avait une tête à s’appeler comme ça, et aussi parce que je l’avais sauvé de la mort. Cependant, je savais que mes parents ne voulaient pas d’animaux à la maison, alors je l’ai caché. Je me servais de mon argent de poche pour lui acheter du lait et je l’ai nourri au biberon. Quand il était tout petit c’était facile de le cacher, mais quand il a grandi et qu’il a commencé ses nombreuses bêtises et à tout dépouiller dans ma chambre, mes parents ont découvert Lucky et ils ont fait des pieds et mains pour réussir à le donner. J’étais très triste de devoir me séparer de Lucky car j’étais énormément attachée à la lui mais au final j’avais la satisfaction de me dire que je lui avais sauvé la vie et que maintenant il serait heureux dans une famille et dans une maison où il pourrait aller vagabonder un peu plus loin qu’uniquement une simple chambre d’enfant encombré par des jouets et tout un tas de trucs que peut posséder une fille de dix ans. ≡ Petit deux Quand on est enfant, on fait tous des bêtises, personne n’échappe à la règle, même pas moi. Un jour, en rentrant de l’école j’avais une folle envie de bonbon mais je n’avais pas mon argent de poche sur moi, ou plutôt je n’avais plus rien puisque j’avais tout dépensé pour nourrir mon chaton Lucky. Je ne voulais pas me sentir ridicule à demander à mes copines qu’elle me dépanne de quelques sous pour me payer des bonbons, alors j’ai voulu faire mon intéressante et j’ai volé quelques bonbons à la boulangerie sauf que je me suis faite prendre. La boulangère m’a quelque peu grondé, a demandé à parler à ma mère mais n’a pas décidé de porter plainte, je n’étais qu’une enfant. De toute façon, j’avais promis de ne pas recommencer, malgré tout en plus de m’être faite disputer très fort, j’ai été punie. ≡ Petit trois Dès lors que j’ai eu seize ans, allez savoir pourquoi, j’ai voulu tenter d’être « rebelle ». Ce n’était pas du tout mon genre mais je savais qu’à l’adolescence c’était le moment où l’on n’était jamais d’accord avec personne, et surtout ses parents et comme je savais qu’ils détestaient les tatouages et qu’ils refusaient catégoriquement que l’on puisse en avoir j’ai décidé de me faire tatouer le nom de ma sœur « Maisie » sur l’épaule. Je ne l’ai pas dit tout de suite à mes parents, d’ailleurs je ne leur ai jamais dit, ils l’ont découvert tout seul l’été suivant lorsque j’ai porté un débardeur. Je ne vous explique même pas l’esclandre. ≡ Petit quatre J’ai toujours aimé dessiner, surtout les vêtements, ce n’est pas pour rien que j’ai voulu devenir styliste. La pire punition que pouvait me faire mes parents c’était de me confisquer mes feuilles à dessin et mes crayons, feutres, en clair tout ce qui m’était nécessaire pour dessiner. ≡ Petit cinq Je ne me souviens pas de cela mais mes parents me l’ont raconté. Pour mes cinq ans, j’avais demandé à avoir un lapin nain pour mon anniversaire, ce que mes parents m’avaient offert. Mais on sait tous bien que ces pauvres lapins que l’on achète en animalerie sont retirés bien trop tôt de leur mère et très souvent ils ne sont pas « solides ». Pour preuve, mon lapin est mort le lendemain de mon anniversaire, je l’ai trouvé mort dans sa cage en rentrant de l’école. Parait-il que je n’ai pas pleuré, rien de tout ça, je suis simplement arrivée au salon tenant mon lapin par les oreilles en pestant « Non mais c’est quoi ce bazar, à peine un jour et plus de lapin, moi je veux me faire rembourser ! ». Mes parents n’ont pas su comment réagir au départ, mais vu la tête que je faisais et le ton sur lequel j’avais prononcé cette phrase, ils n’ont pu s’empêcher de rire. J’ai eu exactement la même réaction lorsqu’ils m’ont raconté l’histoire. ≡ Petit six Je suis extrêmement nulle en cuisine, on ne peut pas être bonne en tout, je pense avoir du talent dans mon métier, il ne faut pas me demander d’être une bonne cuisinière. Je ne sais faire que des surgelés, et encore quand je ne fais pas tout cramer. Si je ne vous invite pas à dîner chez moi, ce n’est pas que je ne vous aime pas, au contraire ! Je vous aime tellement que je ne veux pas vous tuer avec ma nourriture infecte. ≡ Petit sept J’ai une peur bleue des insectes, je déteste vraiment ça. Mais bon la plupart des insectes même si je ne les aime pas je parviens à les « supporter », en revanche les araignées ce n’est pas possible. Lorsque j’en vois une, je suis tétanisée. Si je peux je quitte la pièce et dans ce cas je lui offre ma maison, sinon je reste sur place et je me mets à pleurer. Ridicule hein ? Eh bien je plains d’avance mon mari, si tant est que je puisse en avoir un jour ! ≡ Petit huit Je suis l’aînée, eh oui j’ai décidé de pointer le bout de mon nez la première. Il n’y a peut-être que quelques minutes de différence entre mon heure de naissance et celle de Maisie mais il n’en demeure pas moi que je suis la plus grande, à quelques minutes près, certes, mais ne chipotons pas. ≡ Petit neuf L’école, j’ai toujours détesté ça mais je ne le laissais pas vraiment paraître puisque j’obtenais de bons résultats. J’étais douée à l’école, je ne pouvais pas le nier mais cela ne m’intéressait pas. Evidemment que j’étais contente d’apprendre des choses mais ce n’était pas ce que je voulais, moi je voulais des cours de dessin, des cours où l’on créait des vêtements, depuis ma plus tendre enfance je sais quel métier je veux faire. J’ai tenté à une période de devenir un cancre, je me suis vite fait remettre en place et cela m’a aussi vite coupé l’envie de vouloir faire le bazar en cours. J’étais jeune, disons que j’ai testé les limites, mais j’étais un peu une poule mouillée et que je n’osais pas aller à l’affront, mais ça c’était avant. ≡ Petit dix Comme probablement beaucoup de filles j’ai essayé plusieurs couleurs de cheveux, j’ai les cheveux châtains avec des reflets roux à la base mais j’ai tenté le blond, le brun, un peu tout quoi. Et à vrai dire je ne sais pas vraiment déterminer ce qui me va le mieux ni ce qui me plait le plus alors il m’arrive encore souvent de changer. Oui, j’aime le changement.
Un peu plus sur toi
Prénom : Morgane Pseudo : m&m's Âge : 21 ans Pays : France Niveau RP : Environ 500 mots (plus ou moins). Fréquence de connexion /7 : Oh ça je peux être là tous les jours I love you Comment as-tu connu le forum ? : Je suis admin Arrow Un petit commentaire ? : I love you Quel est ton avatar ?

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MessageSujet: Re: SKYLAR - fiche SKYLAR - fiche EmptyMar 31 Oct - 14:08



C'est l'histoire de ma vie

La vie n'est pas un long fleuve tranquille...

J’avais une nouvelle à annoncer à mes parents. J’étais heureuse de ma décision mais j’avais peur de leur réaction. Je me doutais qu’ils ne seraient pas en accord avec mon choix mais je me disais que ce n’était pas à eux de choisir à ma place mon avenir. A mon avis, je devais être la seule à faire mon choix et normalement ils devraient être censés me soutenir, c’était le rôle des parents que de soutenir leurs enfants, mais bizarrement je n’étais pas certaine que ce serait leur cas me concernant. Mais peu m’importait la réaction de mes parents, ce que je souhaitais c’était les mettre au courant histoire qu’ils ne disent pas que je fais tout dans leur dos ou bien que je leur fasse croire à de prestigieuses études de je ne sais quoi. Je n’avais pas envie de jouer un rôle ni de mentir, je n’avais pas honte de mon choix et il faudrait qu’ils s’y fassent dans tous les cas. Je rentrais tranquillement des cours, j’avais décidé de faire le chemin à pieds histoire d’avoir un peu plus de temps pour réfléchir à la façon dont j’allais leur annoncer la chose. Il ne me semblait pas que je devais tourner autour du pot, je devais simplement aller droit au but et ne pas réfléchir. Malgré que j’eusse marché assez lentement tout le long du trajet, j’avais la sensation d’être arrivée super rapidement chez moi. Je glissais la clé dans la serrure et ouvrais la porte. Je fermais ensuite derrière moi et restais devant la porte un instant. « Maman ? Papa ? » J’étais un peu stressée, je ne savais d’ailleurs pas comment j’avais réussi à parler. J’entendis mon père et ma mère me répondre sur un ton interrogatif, ils devaient sûrement se demander pourquoi je les appelais. « Vous pouvez venir au salon, je dois vous parler… » Mais tout de suite je me suis dit qu’ils allaient s’inquiéter, se poser des questions alors j’ajoutais rapidement quelques mots. « Rien de grave hein ! » Je ne voulais pas qu’ils aillent s’imaginer je ne sais quoi, que je suis enceinte ou quelconque autre idée. Ce que j’avais à leur dire était loin d’être ça. Je me rendais donc au salon et attendais tranquillement que mes parents viennent me rejoindre. Je m’étais assise sur le canapé et je patientais donc qu’ils soient installés à leur tour avant de me mettre à parler après m’être raclé la gorge. « Comme je vous ai dit, je dois vous parler mais ce n’est rien de grave. Je veux juste vous parler de mon avenir. Je veux devenir styliste et je vais intégrer une école pour ça… » Vu la tête qu’ils ont faite quand j’eus terminé mon annonce, j’en concluais que cela ne leur convenait pas, bien au contraire. Et les remarques qu’ils ont faites ensuite n’ont fait que confirmé ce que je pensais, ils n’étaient pas vraiment d’accord. Soit disant que j’avais le niveau pour faire des études plus prestigieuses, que ce n’était pas une branche qui marchait forcément beaucoup alors que si je devenais avocate ou médecin j’aurais toujours la possibilité de trouver du travail peu importe où j’irais. Je me fichais de tout ça, je voulais faire un métier qui me plaisait et pour lequel je n’étais pas dégoutée de me lever chaque matin pour me rendre à mon travail. De toute manière, je ne pouvais plus reculer. J’avais postuler pour intégrer une école et ma candidature avait été retenue. Je partirais à la fin de mon année pour intégrer cette école et réaliser mon rêve.

Je pensais qu’intégrer cette école ferait de moi la femme la plus heureuse du monde. Je l’étais, au début, jusqu’au jour où tout a basculé. Mais malgré ce qui est arrivé, j’ai essayé de faire de mon mieux pour continuer d’avancer et terminer mes études pour faire le métier dont j’avais toujours rêvé. Je m’étais dit que personne n’avait le droit de m’empêcher de réaliser mon rêve, je m’étais fait la promesse d’aller au bout et je l’avais fait, cela n’avait pas été simple mais j’avais donné le meilleur de moi-même et j’y étais arrivée. Ma vie avait basculé le jour où j’avais refusé des avances que m’avait faites un professeur de mon école de stylisme. Tout se passait très bien au début, je le trouvais très gentil avec moi, beaucoup plus qu’avec les autres élèves avec qui je le trouvais sévère. Je n’ai pas réagi, j’ai continué d’être comme j’avais toujours été mais j’aurai dû réagir, en parler, peut-être que tout cela aurait été évité. J’avais cours avec ce professeur en dernière heure, il m’a demandé de rester à la fin du cours. Obéissante, j’avais été me poster devant son bureau à la fin du cours. Mais avant de me parler, il avait attendu que tous les élèves aient quitté la salle et il avait fermé la porte, à clé. Je commençais à me poser beaucoup de questions, je ne comprenais pas ce qu’il se passait. Certes j’étais tout de même âgée de dix-neuf ans mais j’étais encore une gamine pour lui, jamais je n’aurai pu imaginer tout ça. Il s’est avancé vers moi et a posé sa main sur ma joue, je me suis reculée. Je n’ai pas du tout aimé le regard qu’il m’a jeté. D’un coup, j’ai eu la sensation qu’il devenait méchant. Cela ne lui a pas plu que je le repousse, mais que pouvais-je faire d’autre ? Il était mon professeur et même si je ne pouvais pas nier qu’il avait un certain charme, je n’étais pas du tout intéressée. Et coucher avec un professeur n’était pas du tout dans mes projets, il me semblait que cela pourrait causer beaucoup trop de problèmes si cela se savait et je n’avais pas l’intention de perdre ma place au sein de l’école. Il m’a bousculé vers le mur contre lequel il m’a plaqué fort, puis il a commencé à m’embrasser. J’ai essayé de le repousser, je voulais m’en aller mais il m’a serré si fort les mains que cela m’a fait mal et je ne pouvais plus rien faire. Je tentais tant bien que mal de me débattre mais je n’y arrivais à rien. Je n’avais pas d’autre choix que de crier mais il a violemment appuyé sa main contre ma bouche. « Crie encore et j’irai dire à tout le monde que tu m’as fait des avances… » Plus aucune option ne s’offrait à moi, si je voulais pouvoir continuer à étudier, je devais le laisser faire. Je me suis mise à pleurer et j’ai attendu que tout se termine. Cet horrible moment a pour moi duré une éternité. J’avais hâte que tout cela cesse. Dès lors que j’ai pu partir, j’ai rapidement rassemblé mes affaires et je me suis sauvée de la salle. Je suis rapidement rentrée dans ma chambre d’étudiante et j’ai filé sous la douche durant laquelle je suis longuement restée et j’ai pleuré des heures durant jusqu’à ne plus pouvoir lâcher aucune larme. Je n’ai pas été en cours pendant plusieurs jours puis j’ai décidé de consulter un psychologue et de retourner en cours. Quelques semaines plus tard, durant le cours de ce professeur qui s’était servi de moi comme objet pendant de très longues minutes j’ai été prise de vertiges et de nausées si bien que j’ai dû me rendre à l’infirmerie où j’ai fini par faire un malaise. Directement transportée à l’hôpital, les médecins ont effectué des examens et m’ont fait une terrible annonce. J’étais enceinte, enceinte de ce monstre. Je ne pouvais pas garder cet enfant, je ne pouvais pas. J’ai donc avorté même si le fait d’être mère aurait dû me combler de joie. Premièrement je n’avais pas fini mes études et je n’avais pas de situation, deuxièmement je ne pouvais pas garder l’enfant de mon violeur, rien que de penser à cet homme j’étais écœurée alors si je le voyais en cet enfant, je ne pourrais que haïr le bébé. J’ai donc avorté et personne n’a jamais rien su, à l’exception de mon psychologue.

Malgré toutes les épreuves que j’ai dû surmonter au cours de mes trois années d’études, j’ai réussi à atteindre mon objectif, celui de devenir styliste. A la fin de mes études j’ai réussi à trouver un job dans un boutique. Je ne pouvais pas créer comme je le voulais mais j’avais un emploi stable qui me permettait de vivre convenablement et c’était l’essentiel. Ma vie n’était pas passionnante mais je n’étais pas à plaindre. Je continuais à dessiner chez moi toutes les idées que j’avais en tête dans l’espoir de pouvoir ouvrir un jour ma propre boutique. J’ai vécu ainsi pendant plus de dix ans. Parfois je rendais visite à ma famille à Atlanta quand j’avais des vacances. Vivant désormais à Toronto, il était vrai que ce n'était pas tout à côté et que je ne pouvais pas me permettre de leur rendre visite autant de fois que je le voulais. Je n’avais pas encore trouvé l’homme de ma vie, toujours pas d’enfant mais je ne le vivais pas trop mal. Il me semblait que je devais patienter et que ça arriverait bien un jour, je l’espérais en tout cas, sinon tant pis. Il y a deux ans (soit en 2015) le cousin de ma meilleure amie a eu un grave accident de voiture, ce qui l'a contraint à devoir faire de la rééducation et tout ce qui va avec. D'après elle, ça n'allait pas dans son couple et d'ailleurs il avait débarqué à Toronto pour échapper à son ex-femme, et c'est le jour où elle est venue lui rendre visite qu'ils ont eut l'accident. Je sais aussi qu'il a un fils, mais outre tout ce qu'elle me raconte, je ne connais pas ce cher Teddy. Mon amie n'arrive plus à soutenir son cousin, elle trouve que c'est trop contraignant, que ça lui bouffe la vie et donc elle m'a demandé de l'aide. J'ai volontiers accepté. Je savais que j'étais aide soignante dans l'âme, en effet c'était le deuxième métier que je souhaitais exercer si je n'avais pas réussi pour devenir styliste. Ainsi, j'ai rencontré Teddy et je l'ai trouvé très sympathique. Je l'ai soutenu dans sa rééducation et finalement avec le temps, nous sommes tombés amoureux. Comme quoi, il ne servait à rien que je cherche à m'acharner sur je ne sais quel homme que j'aurai pu trouver, j'avais juste à attendre un peu. Je suis simplement heureuse avec Teddy, la vie est simple, légère et je ne me vois plus sans lui. J'espère que ça va durer...
Codage par Maelys (alias Kerwan) de Toronto Cosmopolitan City
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